L’entretien du patrimoine routier national (les chaussées, les ponts, les aires de repos, les dépendances, les glissières, les portiques et panneaux de signalisation…) des régions Bretagne et Pays-de-la-Loire constitue une priorité pour la direction interdépartementale des routes (DIR) Ouest.
L’État y consacre un budget d'environ 45 millions d’euros chaque année. Ces crédits sont utilisés tant pour des chantiers de grande envergure, comme le renforcement de la structure du pont de la Beaujoire (Nantes) ou le renouvellement complet de chaussées, que pour des entretiens courants, tels que des réparations superficielles des revêtements, le renouvellement des marquages au sol et de la signalisation, l’amélioration des aires de repos…
Les montants consacrés à la modernisation et à l’entretien de ce patrimoine peuvent sembler considérables, mais pour s’en faire une idée objective, ils doivent être comparés à la valeur des infrastructures (routes, ponts, aires de repos…) sur lesquelles ils portent.
Le saviez-vous ?
12 milliards d’€, c’est la valeur du patrimoine routier dont la DIR Ouest à la charge
Quelles sont les 3 étapes d'un chantier routier ?
Comment faites-vous chaque année pour choisir où intervenir pour rénover des chaussées, réparer un pont malade ou aménager des zones accidentogènes ?
La direction interdépartementale des routes (DIR) Ouest assure de nombreuses missions diversifiées, qui couvrent l’entretien, la modernisation, l’exploitation, la gestion du trafic et l’information aux usagers des routes nationales des régions Bretagne et Pays-de-la-Loire. Pour faire face à ces missions en tenant compte des moyens budgétaires disponibles, elle s’efforce d’établir, pour chaque domaine, des priorités et de planifier les actions à entreprendre. Si des interventions s’imposent sur certains ponts pour ne pas mettre en péril la pérennité de l’ouvrage et/ou la sécurité des usagers, il y a également des sites qui nécessitent des aménagements immédiats pour améliorer la sécurité routière ou pour lesquels le renouvellement du revêtement ne peut pas être différé. Pour se faire la DIR Ouest réalise en continu, une observation, un suivi et une analyse précise de l’état des chaussées, ainsi qu’une observation de l’accidentalité.
Pourquoi y a-t-il aussi souvent des travaux sur les routes nationales ?
Pour garantir le confort, la sécurité des automobilistes et entretenir le patrimoine routier, des travaux sont réalisés régulièrement sur le réseau routier national afin de renouveler le revêtement des chaussées, détériorées par la circulation des véhicules et les conditions météorologiques.
Ainsi, chaque année des tronçons où des travaux sont nécessaires (parce que l’adhérence s’est dégradée, la chaussée déformée, etc.) sont identifiés et les chantiers sont planifiés.
Sur chaque chantier cependant la limitation de la gêne aux automobilistes constitue l’une des préoccupations majeures des services de la DIR Ouest. Dans la mesure du possible les travaux sont réalisés le jour en dehors des heures de pointe, voire la nuit (de 21h00 à 6h00) sur les secteurs les plus circulés.
Comment les chantiers sont-ils planifiés ? Tient-on compte des perturbations de trafic et de la gêne aux usagers ?
La DIR Ouest est bien consciente que les travaux perturbent la circulation et que les bouchons et retards sont toujours désagréables pour les automobilistes qui les subissent.
Aussi, la programmation de nos chantiers fait l’objet d’une analyse rigoureuse de notre part, analyse qui nous conduit à concilier notamment les objectifs suivants :
- Limiter la gêne sur le secteur concerné par les travaux ;
- Assurer la sécurité du chantier, tant pour les automobilistes que pour les personnels qui travaillent sur le chantier ;
- Réaliser la totalité de notre programme annuel de travaux, travaux dont il faut rappeler qu’ils sont réalisés pour maintenir la viabilité, le confort de conduite et la sécurité des usagers.
Il faut trouver le meilleur compromis pour permettre la réalisation des travaux dans de bonnes conditions techniques et dans de bonnes conditions de sécurité pour les usagers et pour le personnel du chantier, tout en continuant à assurer l’écoulement du trafic.
Sur les routes nationales, tous les moyens sont mis en œuvre pour éviter des pertes de temps trop importantes aux usagers.
Différentes mesures peuvent être prises, telles que :
- Le découpage du chantier en plusieurs phases
- La mise en place de déviations locales et/ou d’itinéraires de contournement ;
- La prise en compte des périodes de pointe ;
- Une programmation évitant d’avoir plusieurs chantiers concomitants sur un même axe ;
- Les travaux de nuit dans les zones les plus circulées ;
- La signalisation préalable sur site plusieurs semaines avant le début du chantier ;
- L’affichage sur les panneaux d’information lumineux ;
L’information via les médias et les sites internet bison-fute.gouv.fr et diro.fr.
Ces dispositions sont néanmoins soumises à des impératifs d’ordre divers, tels que l’urgence des travaux, les conditions météorologiques, la configuration des lieux et d’autres contraintes d’entreprise.
Comment sont programmés les travaux ?
La programmation de nos chantiers dépend :
- De l’urgence des travaux,
- De la gêne occasionnée aux automobilistes,
- De l’état du trafic,
- Des conditions climatiques.
Retrouvez tous les travaux prévus ou en cours, sur le site internet diro.fr et bison-fute.gouv.fr
Réaliser notre programme d’entretien du réseau est une exigence. La durée de vie d’un revêtement sur une route nationale se situe entre 15 et 20 ans, selon que le tronçon est soumis à des contraintes plus ou moins fortes (notamment dans les courbes et dans les pentes avec fort trafic poids-lourds). La DIR Ouest renouvelle entre 3 % et 5 % des routes nationales dont elle a la charge tous les ans, plus ou moins en profondeur selon l’état d’usure, soit entre 80 et 150 km et parfois plus lorsque, les conditions climatiques hivernales aggravent les dégradations. Pour réaliser ces travaux, la DIR Ouest ne dispose que d’un peu plus de quatre mois, du fait des conditions météorologiques défavorables de novembre à avril et de l’absence de travaux en juillet-août pendant les migrations estivales. Même dans les quatre mois restants, nous ne sommes pas à l’abri d’intempéries qui peuvent retarder notablement les chantiers. Aussi, notre calendrier est très contraint : la DIR Ouest doit donc trouver un équilibre entre le morcellement des opérations, moins pénalisant pour la circulation, et l’optimisation des chantiers, qui nous pousse au contraire à traiter des linéaires importants avec moins d’opérations de basculement et de remise en circulation.
Parfois les zones neutralisées s’étendent bien au-delà du chantier, pourquoi ?
Assurer la sécurité du chantier est une des préoccupations majeures de la DIR ouest. En effet, la plupart des accidents sur chantier ont lieu lors du rétrécissement. Ce rétrécissement doit donc être placé dans de bonnes conditions de visibilité. Par ailleurs, les chaussées des routes nationales sont séparées par un terre-plein central avec des glissières de sécurité. Ces glissières, pour jouer leur rôle de dispositif de retenue, sont ancrées au sol et ne peuvent pas être déposées pour un chantier. Néanmoins, environ tous les 2 km, un dispositif démontable permet de créer des basculements. Ceci peut nous conduire à neutraliser une zone plus étendue que celle correspondant strictement aux travaux. Cependant dès qu’un tronçon est terminé et qu’il existe un dispositif de traversée du terre-plein, il est remis en service sans attendre la fin de l’opération.
Le saviez-vous ?
Mettre en place toute la signalisation (biseaux de rabattement, panneaux lumineux, cônes des voies de circulation …) pour un basculement de circulation nécessite une journée complète de travail pour 10 personnes, quelle que soit la longueur du basculement. Lors de cette opération, les agents de la DIR Ouest sont particulièrement exposés et risquent à chaque instant d’être fauchés par les véhicules circulant sur la route.
Pourquoi voit-on des zones de travaux dans lesquelles personne n'intervient ?
Plusieurs situations peuvent expliquer que personne ne se trouve dans une zone de chantier :
- – Certains chantiers par exemple le marquage au sol, la rénovation de chaussées…, nécessitent un temps de séchage ;
- – Le balisage d’un chantier a pu être posé par les agents de la DIR Ouest à un moment où le trafic le permettait et l’entreprise qui exécute les travaux n’a pas encore démarré ;
- – Le balisage peut être conservé entre 2 phases de travaux pour limiter l’exposition des agents qui posent ce dispositif aux risques routiers ; Les conditions météorologiques imposent une interruption momentanée du chantier.
- – Et dans certains cas, vous pouvez avoir l’impression que personne n’intervient sur une zone de chantier parce qu’elle ne travaille pas forcément visiblement, mais à proximité des voies circulables.
Le saviez-vous?
Le balisage d’une zone de 5 km prend environ 1h et nécessite la pose de 150 plots de 4,3 kg chacun.
Pourquoi la route n’est pas remise en circulation dès la fin des travaux ?
Assurer la sécurité, c’est également remettre en circulation dans de bonnes conditions. Ainsi, même si cela n’est pas perceptible pour l’automobiliste, dès le début d’un chantier, par exemple un chantier d’enrobé, un fraisage est entrepris sur toute la largeur de la voie créant une dénivelée qui interdit toute possibilité de remise en circulation. Ainsi, une section importante peut se trouver sans ouvriers ni engins mais ne peut pas pour autant être rendue à la circulation. De même, après la pose du nouvel enrobé, il faut impérativement remettre la signalisation horizontale (peinture au sol) et enfin retirer tout le matériel de chantier et le dispositif de basculement. Dès lors, quelle que soit la longueur d’un chantier, les phases de basculement et de remise en circulation dans de bonnes conditions de sécurité mobilisent plus d’une journée de travail.
Un balisage, à quoi ça sert ?
Toute l’année, des agents de la route, des techniciens, des ingénieurs, des prestataires externes, des forces de l’ordre, des services de secours, des dépanneurs interviennent sur les routes nationales pour porter assistance aux usagers ou entretenir les infrastructures. Que ce soit pour avertir de la présence de travaux ou pour protéger les usagers en cas de panne ou d’accident, les « anges gardien » de la route mettent en place des balisages ainsi que de la signalisation temporaire pour effectuer ces interventions en toute sécurité.
Les règles de sécurité à observer
A l’approche d’un chantier, de grandes flèches lumineuses sont installées pour indiquer sur quelles voies se rabattre et pour avertir de la présence d’agents en intervention sur les voies. Dès que vous apercevez ces flèches, il est nécessaire d’adapter sa conduite, de ralentir et de redoubler de vigilance.

A quoi servent les grandes flèches lumineuses avant un balisage ?
Les grandes flèches lumineuses accompagnent des actions qui revêtent un degré de dangerosité particulièrement élevé. Ce sont souvent des chantiers de courte durée, difficiles à signaler et qui ne peuvent pas s’accompagner de panneaux invitant à diminuer la vitesse.
Ces flèches permettent de protéger les équipes actives une centaine de mètres plus loin. Il n’est pas rare, malgré leur imposante silhouette, que ces flèches surprennent encore les usagers. Ainsi, chaque année, plus de 10 flèches lumineuses sont percutées par des véhicules d’usagers sur les routes nationales de Bretagne et Pays-de-Loire.
A quoi servent les petits catadioptres de couleur (orange, vert ou blanc) posés sur la glissière centrale au bord des routes ?
La direction interdépartementale des routes (DIR) Ouest a équipé toutes les routes dont elle a la charge de ces dispositifs depuis plus de deux ans. Ils ne sont pas destinés aux usagers de la route, mais aux équipes d’intervention de la DIR Ouest et aux forces de secours en tant que points de repère.
Ils ont en effet été mis en place pour déterminer ce que l’on appelle les « zones d’ombre ». Ils permettent aux agents de la DIR Ouest de positionner leurs véhicules avertissant les usagers d’une intervention avec des distances de visibilité suffisantes (400m à 200m suivant les types d’intervention) pour assurer la sécurité des intervenants et des usagers. Les codes couleur correspondent à des distances de visibilité pour l’usager vis-à-vis du lieu d’intervention.
Dans quels cas des déviations ou des itinéraires de contournement sont-ils mis en place ?
Lors de la réalisation de chantiers, la limitation de la gêne aux usagers constitue l’une des préoccupations majeures des services de la DIR Ouest. Il faut trouver le meilleur compromis pour permettre la réalisation des travaux dans de bonnes conditions de sécurité pour les usagers et pour le personnel du chantier, tout en continuant à assurer l’écoulement du trafic.
La DIR Ouest met en place des déviations ou des itinéraires de contournement, conseillés ou obligatoires, en cas de chantiers importants, mais également en cas :
- D’accidents,
- De fort trafic,
- D’intempéries.
Pour obtenir les informations nécessaires avant et pendant votre déplacement, pensez à consulter diro.fr ou bison-fute.gouv.fr, à écouter les informations trafic sur les radios et à lire les informations affichées sur les panneaux d’information lumineux.

Un itinéraire S, qu’est-ce que c’est ?
Lors de travaux ou d’évènements importants, les équipes de la DIR Ouest peuvent inviter les usagers à suivre des itinéraires de déviation. Dans certains cas, les itinéraires sont jalonnés via des encarts jaunes sur les panneaux de signalisation fixe existants.
Qu’est-ce que c’est ?
Un itinéraire de substitution, ou itinéraire «S», est un itinéraire de déviation locale balisé en permanence.
Sur le périphérique de Nantes, par exemple, il existe 8 itinéraires «S». Ils orientent les usagers vers le réseau urbain ou vers le réseau autoroutier en cas de fermeture exceptionnelle du périphérique.
Quelle est la marche à suivre si je dois exécuter des travaux empiétant sur une route nationale ouverte à la circulation ?
L’exécution de travaux peut nécessiter d’emprunter une route nationale ouverte à la circulation, avec ou non déviation sur d’autres réseaux routiers.
L’exécution des travaux sur le réseau routier national nécessite une autorisation de la DIR Ouest pour les travaux proprement dits et pour les mesures d’exploitation à mettre en place (neutralisation de voie, fermeture de route avec déviation…).
Cette autorisation prendra la forme d’une autorisation d’occupation du domaine public et d’un arrêté préfectoral en cas de restrictions de circulation sur le réseau routier national non concédé.
Comment établir sa demande, à qui l’adresser ?
Il n’existe pas de formulaire type, votre demande devra préciser :
- L’identité du demandeur
- Le lieu ou l’itinéraire,
- Le motif de la demande,
- Les dates et la durée,
- Les restrictions de circulation demandées.
Votre demande doit être adressée au district en charge de la gestion de la route concernée.
Pour connaître les coordonnées du district consultez notre site
Quelle est la marche à suivre si j’organise une manifestation ou un tournage de film qui nécessite d’emprunter une route ouverte à la circulation ou de fermer des points d’échanges avec le réseau secondaire ?
D’une manière générale, l’emprunt du réseau routier national et notamment celui à 2×2 voies est interdit aux manifestations de toutes natures.
Pour organiser une manifestation (sportive, culturelle, tournage de film…) qui nécessite ou non des mesures de gestion de la circulation sur le domaine public routier, une demande doit être adressée à la préfecture du département concerné qui consultera les gestionnaires routiers concernés.
Pourquoi les graffitis ou l’affichage « sauvage » sur les ponts ne sont pas nettoyés plus régulièrement ?
Beaucoup de ponts sur le réseau routier national que nous gérons, sont recouverts de graffitis ou d’affiches diverses.
En ce qui concerne les graffitis, les agents en charge du réseau procèdent, plusieurs fois par an, à des campagnes de nettoyage des ponts. Nous n’intervenons que très rarement immédiatement car les actions répétitives de nettoyage (sablage, hydrogommage, etc..) dégradent le revêtement béton des ouvrages.
En ce qui concerne l’affichage sauvage « facile d’accès », il est régulièrement enlevé par nos agents, à l’occasion des patrouilles. Néanmoins, l’accès à certaines affiches est parfois difficile et/ou dangereux. C’est notamment le cas des affiches positionnées en hauteur ou sur des piles de pont au niveau du terre-plein central. Dans ce cas, il est souvent nécessaire de neutraliser la voie rapide pour intervenir et un délai d’intervention est donc nécessaire pour la sécurité de nos agents et des automobilistes.
Comment est déterminé le contenu des messages affichés sur vos panneaux lumineux ?
Il existe une réglementation européenne qui définit le contenu des messages affichés. Les panneaux d’information lumineux sont utilisés, par ordre de priorité, pour :
- Informer sur les conditions de circulation (incident, accident, travaux, météo, bouchons…) ;
- Inciter ou obliger les usagers à emprunter des itinéraires de substitution (réseau national ou départemental) ;
- Diffuser des alertes enlèvements ;
- Rappeler des règles de sécurité routière ou informer de campagnes nationales liées à la route.

Comment les informations concernant les chantiers sont-elles communiquées ?
Pour réaliser les travaux dans de bonnes conditions de sécurité pour les usagers et pour le personnel du chantier, tout en continuant à assurer l’écoulement du trafic, la DIR Ouest communique largement par :
La mise en place d’une signalisation préalable sur site plusieurs semaines avant le début du chantier ;
- Les panneaux d’information lumineux aux abords des agglomérations ;
- Les sites internet diro.fr , bison-fute.gouv.fr et les sites des partenaires si besoin ;
- La diffusion de l’information auprès des médias locaux (radios et presse écrite)
Un chantier est une zone à risque, pourquoi ?
La présence d’un chantier sur les routes accroît les risques d’accidents mortels.
Sur les 1520 km de routes nationales gérées par la Direction interdépartementale des routes (DIR) Ouest, on recense en moyenne chaque année 20 accidents matériels et 6 blessés suite à un accident survenu à hauteur d’un chantier ou d’une intervention.
Diminuer sa vitesse permet d’anticiper toute modification de la configuration de la route (déviation, rétrécissement) et de conserver un trafic fluide. Il est crucial de modérer sa vitesse pour vous protéger, protéger les autres automobilistes et protéger les agents en intervention. Les professionnels de la route qui interviennent sur le chantier sont parfois particulièrement proches de la circulation et ne sont pas toujours forcément visibles. Enfin, même lorsqu’il est inoccupé, un chantier reste une zone à risque.
Quelles sont les règles de sécurité à adopter en cas de travaux sur la route ?
Dans tous les cas, il convient d’aborder une zone de chantier avec prudence en adaptant votre vitesse aux conditions de circulation et en respectant les indications mentionnées sur les panneaux ou sur les fourgons présents, pour votre sécurité et celle des personnels intervenant sur le chantier.
Même quand il n’y a pas de réduction formelle de vitesse (dans le cas des chantiers signalés par des flèches lumineuses de rabattement),il convient d’adapter votre vitesse du fait de la réduction des voies circulables et de la présence d’intervenants sur la route et ce conformément aux prescriptions du code de la route.
Par conséquent, sur les zones de travaux, respectez toujours les distances de sécurité et restez vigilant : des personnels à pied ou des engins peuvent évoluer à proximité des voies de circulation.
